tapi dans tes
racines tu
t’étends sur le
matelas à effacement
de forme
de la mer.
Tu fais l’étoile,
le soleil
à brûle-pourpoint
vêt ton front,
ta poitrine,
et tout dans l’eau
tout est
tu. Puis tu
t’allonges
sur le matelas
à mémoire
de forme
du sable,
qu’efface la mer.
D'autres poèmes dans le numéro 17 de la revue margelles.