Confession pour Francopolis

Robert Bresson, Journal d'un curé de campagne, 1951




« Une partie de ce que j’écris transcrit également  dans un idiome clarifié cette fois  l’attachement que je porte à mon propre monde (c’est-à-dire l’énervement positif ou négatif qu’il me procure). Parce que je ne sais pas parler sans trébucher, sans ridicule, à cause d’une opiniâtreté particulière. Peut-être parce qu’aux revendications désuètes ou déviantes. »

(Confession intégrale ici sur le site de Francopolis)