Sauf
l'homme, tout dans la nature, en dehors bien sûr
de plages de
communication cruciale, d’un frottement
inamovible
d'avec le monde, fait silence, vit de silence.
Le bruit
animal ne prend appui que sur la faim, la
génération.
Oui, et l'homme par ailleurs. Mais l’homme
fomente
aussi des cacophonies adventices. Toujours
un moteur
hors de lui… Et son rire même — fracas qui
lui pourtant
lui monte du puits —, il ne repose sur rien.
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